Licencié en philosophie, critique pendant vingt ans à (Télé)Moustique, Olivier Lecomte a dirigé le supplément belge du magazine Studio, collaboré à l’émission Télécinéma de La Une et a écrit pour Cinergie, L’événement, Dimanche Matin, Le journal du mardi, Gaël…
Il a assuré le cours d’esthétique du cinéma à l’école de photo et vidéo Agnès Varda de la Ville de Bruxelles.
Ayant fondé le cours d’analyse de films La Toile filante, Olivier assure actuellement une série de formations à l’Université des Aînés (UCL), à la Médiathèque de l’ULB, à l’Ichec-Cultures, à l’Espace Delvaux, à l’Espace Senghor…
Il anime régulièrement des rencontres publiques avec des cinéastes (Agnès Varda, Bertrand Tavernier, Claude Lelouch, Fernando Arrabal, Tony Gatlif, Goran Markovic, Jonathan Nossiter, les frères Dardenne, Frédéric Sojcher, Stephan Streker…) et a obtenu en 2005 le Prix de la critique décerné par la Communauté française.
Site internet : http://www.latoilefilante.be/
A LA DECOUVERTE DU CINEMA JAPONAIS
Malgré un premier âge d’or à l’époque du muet, le cinéma japonais n’a été exporté en Occident qu’au début des années 50, notamment au Festival de Venise où sont primés Rashomon et Les sept samouraïs d’Akira Kurosawa, Contes de la lune vague après la pluie de Kenji Mizoguchi… S’ensuit une vague de films situés à l’époque féodale. Mais ces mêmes cinéastes, tout comme Yasujiro Ozu avec ses drames familiaux (Printemps tardif, Eté précoce…), ont également témoigné des mutations du Japon de l’après-guerre et de son « miracle économique ». Et nous n'oublierons pas l’unique réalisatrice de ce second âge d’or, Kinuyo Tanaka (Maternité éternelle, La nuit des femmes…), dont les films bouleversants n’ont été découverts que récemment.Lena Horne aux rares productions des grands studios dotés d’un casting entièrement noir et sortis dans les années 30 à 50 (Hallelujah, Stormy Weather, Carmen Jones…).
Premier jour
9h30 : accueil et installation à l'hôtel
10h30 à 12h30 : séance d'analyse de films
12h30 à 14h00: repas
14h à 15h30 : promenade digestive au grand air
16 à 18h : séance d'analyse de films
19h à 20h30 : pause gastronomique
Deuxième et troisième jours
9h00 : petit déjeuner
10h00 à 12h00: séance d'analyse de films
12h30 à 14h00: repas
15h00 à 17h00 : séance d'analyse de films
19h à 20h30 : pause gastronomique (pour le deuxième jour)
De quoi prendre des notes et toute votre bonne humeur
Logement dans le confortable hôtel *** « Les Roses » de Libin.
Repas excellents, raffinés et en majeure partie bio.
Formation théorique prodiguée en salle de projection sur place.
Le prix total du séjour en chambre single revient à 430 euros et 390 euros par personne en chambre double ou twin. Ce séjour comprend :